dimanche 28 avril 2024

Démontage de la rectifieuse à soupapes

 Après les présentation, voici la phase de démontage pour restauration de cette belle machine qui ressemble à une machine à trancher le jambon italienne.




Le fonctionnement.

Le logo est vraiment magnifique et parfaitement conservé.

Petite photo de la transmission avec trois courroies trapézoïdales. La première à gauche entraîne la meule, la deuxième entraine l'axe intermédiaire et la troisième entraîne la rotation de la soupape. Cette dernière pourrait être remplacée par une courroie de section ronde moins sujette à l'usure à mon avis.



Le chariot du support de soupape. (à noter le petit huileur de l'axe de la manivelle dont il manque le petit couvercle, je suis à la recherche de ce genre de huileur monté au maillet d=7mm)



Le démontage commence.









L'abat jour de la petite lampe est bien bosselé. Je l'ai sablée.




Petite astuce pour le démontage de l'axe d'entrainement de la soupape.






Sablage du carter.

vendredi 26 avril 2024

Rectifieuse de soupapes

 Si à 50 ans, tu n'a pas de rectifieuse de soupapes c'est que tu as raté ta vie ! Grâce à René j'ai évité ça !






lundi 25 mars 2024

Opération baies vitrées

 Grâce à l'ami Nicolas, j'ai pu récupérer sur le bon coin 6.5 m de baies vitrées en bon état. Nous avons donc monté une opérations pour aller les démonter et les transporter jusqu'au hangar.


Première étape : Le démontage, pas de difficultés particulières à part la nécessité de couper les joints en silicone qui faisaient l'étanchéité (2 h quand même).


Ensuite vient le chargement, et là ça se complique !
Pour les portes vitrées j'avais fabriqué des châssis sur lesquels nous les avons entreposées verticalement.
Par contre pour les cadres (4x2 m et 2.5x2m) il a fallu faire preuve d'astuce. 
- grâces aux ferrures inférieures de liaison des cadres à la maçonnerie, nous avons vissés les cadres sur un chevron commun.
- Ensuite à l'aide de trois autres chevrons, nous avons réalisé une ferme de charpente plaquée et liée aux cadres afin de donner de la rigidité à l'ensemble et de contrer le déversement des cadres.




Après 3 h de sanglage nous étions prêts à prendre la route avec notre convoi dont le grand mât culminait à 3.6 m de haut.
Après une grosse frayeur à l'entrée d'un tunnel (hauteur insuffisante et donc nécessité de faire marque arrière...), nous sommes arrivés à notre première étape, l'IUT de Cachan.



Deuxième étape, cachan - le hangar, de nuit et sous la pluie !


Arrivé sans encombres au hangar


Le lendemain, on transfère les baies vitrées à l'étage grâce à l'élévateur auquel on a ajouté des fourches




Les cadres en place !